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MDXi se joint aux leaders des centres de données et à l’Uptime Institute pour parler de la transformation numérique de l’Afrique

MDXi est en train de construire un écosystème de centres de données en Afrique de l’Ouest, grâce à des investissements dans son centre de données de niveau 3 à Lekki (Lagos), et de futurs investissements à Sagamu (État d’Ogun, Accra, Ghana), Abidjan (Côte D’Ivoire) et Dakar (Sénégal)

Nous restons déterminés à consolider la transformation numérique de l’Afrique de l’Ouest, avec des investissements dans les infrastructures de fibre et les centres de données

LAGOS, Nigeria, 31 juillet 2018/APO Group/ --

Chef de file des centres de données en Afrique de l’Ouest, MDXi (www.MDX-I.com) vient de réitérer l’importance des centres de données périphériques pour permettre aux particuliers africains de bénéficier d’expériences en ligne optimisées grâce à une diminution significative de la latence, tout en réduisant considérablement les frais de transit. Gbenga Adegbiji, directeur général de la société en charge de son expansion ouest-africaine, cite un rapport d’ACG Research (un analyste et un cabinet conseil dans les télécoms), qui estime qu’une mise en cache locale du contenu pour une agglomération d’environ un million de personnes peut permettre jusqu’à 50 pour cent de réduction des coûts, par rapport à la méthode de transfert à longue distance, sur une durée de cinq ans.

Durant son allocution plénière sur le thème « Deploying at the Edge - Bringing content closer to West African eyeballs » (« Déploiement périphérique : rapprocher le contenu des utilisateurs ouest-africains »), durant la conférence Data Centre Dynamics qui s’est récemment tenue à Johannesburg, en Afrique du Sud, M. Adegbiji a appelé les fournisseurs africains de contenus et d’applications à tirer parti de l’écosystème florissant des centres de données périphériques sur le continent, tout en rappelant que cela déboucherait sur une nette réduction des coûts, l’amélioration de la performance de l’écosystème actuel des contenus, et l’émergence de nouveaux cas d’utilisation technologique en Afrique, comme les jeux en ligne, l’Internet des Objets, l’Intelligence Artificielle et les mégadonnées.

Selon lui, l’Afrique présente des opportunités parmi les plus prometteuses : une population de 1,3 milliard d’habitants, la plus forte croissance de marché du numérique grand public, un accès estimé à 600 millions d’utilisateurs au cours des sept prochaines années, et une croissance de 6-7 % du PIB à l’horizon 2020. Il a également rappelé que la plupart des préoccupations habituelles au sujet de l’Afrique ont été résolues ; les centres de données locaux ont surmonté les problématiques d’alimentation électrique en contournant les goulets d’étranglement traditionnellement liés à la transmission et à la distribution grâce à des connexions de réseau directes ; des installations de colocation locales sont en cours de construction afin de répondre aux exigences de très grande échelle ; et quelques centres de données natifs du secteur du sport qui ont reçu des distinctions et des certifications internationales, comme la norme de sécurité des données de carte de paiement (PCI-DSS), la certification Tier III Constructed Facility certification (TCCF) de l’Uptime Institute, ainsi que les certifications ISO 9001 et 27001. M. Adegbiji a également fait remarquer que la hausse des investissements et de la croissance dans les infrastructures de fibre “du dernier kilomètre”, et l’émergence d’entreprises locales mettant en place des réseaux en accès libre pour promouvoir les opportunités d’interconnexion.

En rappelant que la majeure partie des problématiques de latence ne sauraient être résolues uniquement par la technologie en raison de considérations géographiques, M. Adegbiji a appelé les acteurs mondiaux à étoffer leurs portefeuilles de centres de données, avec des déploiements périphériques, tout particulièrement au Nigeria, afin de tirer au maximum profit de l’Internet. « Avec la plus grande économie d’Afrique (90 % du PIB de l’Afrique de l’Ouest anglophone), la troisième place démographique d’ici 2050, et la 8e place mondiale en termes d’utilisateurs d’Internet et 45 % des utilisateurs d’Internet en Afrique, le Nigeria est une destination naturelle et stratégique pour permettre aux principaux acteurs tournés vers l’Afrique de l’Ouest d’offrir un traitement des données en temps réel en zone périphérique. Avec de solides points d’échange d’Internet et un accès via des points d’interconnexion locaux, les centres de données tels que MDXI fournissent une plateforme permettant à divers réseaux de se connecter directement à d’autres opérateurs et d’échanger du trafic au Nigeria, dans le but d’assurer une réduction des coûts de bande passante, l’amélioration des marges pour les propriétaires de contenus et les OTT, l’accélération de l’accès à un plus grand nombre de fournisseurs de contenus et d’opérateurs, ainsi qu’une diminution de la latence et une optimisation de l’expérience pour les utilisateurs locaux. »

Il a également souligné que MDXi est en train de construire un écosystème de centres de données en Afrique de l’Ouest, grâce à des investissements dans son centre de données de niveau 3 à Lekki (Lagos), et de futurs investissements à Sagamu (État d’Ogun, Accra, Ghana), Abidjan (Côte D’Ivoire) et Dakar (Sénégal). « Nous restons déterminés à consolider la transformation numérique de l’Afrique de l’Ouest, avec des investissements dans les infrastructures de fibre et les centres de données », conclut M. Adegbiji.

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